Le bel étalon du stand

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il y a 4 ans

Il y a 4 ans, quand je suis devenue majeure, j’ai eu envie de me lancer dans une carrière d’actrice. Attention, hein ! Pas dans le style cours Florent… mais dans le genre porno. Je regarde du X et j’ai toujours été fascinée par ses belles femmes qui assument leurs fantasmes. J’aime les scènes hard mais aussi le sexe lesbien, ou encore les plans à plusieurs (mais uniquement s’ils sont bien filmés).

Avant de me lancer, j’ai échangé avec quelques réalisateurs et actrices via les réseaux sociaux. J’ai été plutôt échaudée. On sentait que les nanas ne voulaient pas de concurrence et les réal’ avaient des idées en tête qui n’avaient pas grand-chose à voir avec leurs films. Du coup, j’ai un peu lâché l’affaire. Jusqu’à ce qu’une amie fasse une mission d’intérim sur le Salon de l’érotisme à Amiens, où je vis.

Je me suis pointée là-bas pour tenir compagnie à ma copine sur son stand (de la lingerie coquine) et on s’est bien marrées toutes les deux. Mais les choses sont devenues plus intéressantes encore quand un beau mec s’est pointé sur le stand et a demandé à me prendre en photo « pour sa collection de jolies filles ». Il s’appelait Jean. La quarantaine bien conservée, les cheveux grisonnants, grand et bien habillé. On sentait qu’il avait de l’argent. Il portait un appareil photo énorme à l’épaule et je l’ai taquiné sur « la taille de son gros zoom ».

Nous avons bavardé comme ça 10 minutes. Le coquin me faisait grave du gringue et ma pote me matait avec de gros yeux, parce qu’elle ne voulait pas que la patronne du stand fasse un foin en me voyant draguer le chaland. J’ai dit à Jean : « Dis, Monsieur le grand photographe, tu ne veux pas qu’on se trouve un coin plus tranquille ? » Nous avons un peu tourné dans le salon avant de tomber sur un couloir désert, qui nous a conduit à une sorte de remise. Dedans, des cartons, un canapé mais rien de plus. Nous étions tranquilles.

Jean n’a pas tourné autour du pot : dès son entrée dans la pièce, il a enlevé sa veste de costard et a retiré le cache de son appareil. « En piste, ma belle ! » J’ai rigolé et j’ai commencé mon numéro. Un strip-tease bien chaud. Lui shootait, me complimentant très agréablement. « Tu prends super bien la lumière, Alicia. Vas-y, montre-moi tes beaux nichons. Hum, ce cul de rêve, cambre-toi ! Ça va faire une photo géniale, ma belle… ». Je jouais à m o r t avec l’objectif, me sentant comme une vraie starlette. Je me suis foutue à poil, ne gardant que mon top en dentelle. Jean a alors posé l’appareil pour se dévêtir. Moi qui préfère baiser avec des mecs de mon âge, j’ai été agréablement surprise de le voir nu : il avait les épaules musclées et même si son ventre était un peu mou, on voyait qu’il se surveillait. Jean s’est avancé vers moi et j’ai pensé qu’il allait m’embrasser. Mais il s’est contenté de sourire… et de passer sa main derrière ma tête pour me guider à ses pieds. Un mec sûr de lui, j’adorais !

Je me suis mise en position et j’ai entrouvert les lèvres. D’abord suçoter, puis gober le gland tout en jouant avec la pointe de la langue. Résister à la pression des mains de Jean sur ma tête pour lui donner encore plus envie. Puis le laisser enfoncer ma bouche tout le long de son chibre dur. J’ai aimé le goût de son sexe, musqué et puissant.

La pipe a duré de longues minutes… De quoi mettre ma minette en folie. Quand il en a eu assez, Jean s’est allongé sur la moquette et m’a invitée à venir sur lui. Je me suis placée à califourchon et pour lui montrer comme j’avais kiffé lui pomper le dard, je l’ai fait coulisser entre mes lèvres humides, déposant mon jus salé sur l’engin. Jean a poussé un grognement et lâché « Je sens que tu vas t’emboîter comme il faut, ma belle ! ». J’ai souri et j’ai guidé sa queue en moi, me pénétrant et en poussant un soupir de contentement.

Son chibre m’écartant à fond, tout en me calant bien dessus, j’ai joué avec mon clito. Hum, quel pied… Quelques allers-retours et j’ai recommencé à mouiller de plus belle ! Il faut dire que Jean m’avait chopée par les hanches et s’était mis à me faire coulisser sur lui, ce qui m’a procuré beaucoup de plaisir. Puis il s’est mis à me palper le cul à pleines mains, ce qui m’a donné une idée.

Je me suis désembrochée, ma chatte faisant un bruit de ventouse au passage. Je me suis alors réenfilée dans l’autre sens, présentant mon petit cul serré à Jean. Cette position lui a permis de me palper à sa guise, et même d’oser s’occuper de mon petit trou avec son index trempé de salive. J’ai adoré me laisser tomber en rythme sur sa queue pendant que le cochon me perforait l’anus d’un doigt assuré.

Jean était maintenant très chaud. Nous avons changé de position, direction le canapé. Je n’ai pas osé regarder de trop près les traces douteuses qui maculaient le tissus… Le photographe m’a baisée sans me demander mon avis. D’abord en levrette, plongeant son gros kiki entre mes lèvres gonflées. Là encore, mon petit trou a reçu un traitement de faveur des plus agréables… Puis j’ai été retournée sans ménagement, satisfaisant le coquin en serrant bien les cuisses autour de son braquemart. Profitant à fond que Jean m’éclatait la chatte en grognant comme un s a n g lier en rut, j’ai joui en m’agrippant aux coussins crados.

Mais le meilleur moment a été l’orgasme du cochon : en me traitant de petite chienne, il s’est retiré et s’est placé au-dessus de moi. Pour finalement se terminer façon gros dégueulasse sur mes petites tétines. Je lui ai fait mon plus beau sourire, jouant avec le foutre chaud, en tartinant mes tétons telle une actrice pro. Un vrai kif.

Ce moment très chaud a eu lieu le mois dernier. Depuis, je me suis présentée à plusieurs castings X en région parisienne. Préparez-vous à entendre parler de moi !

Alicia

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